22 août 2008
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Ô combien désolé,
Déçu ?
De m'être porté
Au dessus...
De ma tristesse,
Dont certains n'ont rien à carrer;
Car ils se foutent aux fesses,
La moindre de mes pensées.
Qu'au moins,
Elles leurs apportent la douceur,
Car un jour, témoins,
Ils seront de leur malheur.
Pause, disais je ?
Besoin il se fait,
A ceux qui galègent,
Je dis : parfait.
Mais le temps avance,
Il ne se rattrappe pas,
A force de médisances,
On saute le pas
Fuire la réalité,
Jamais, je ne l'ai fais,
Dire des banalités,
Pour la fuire,
Comme on est, on fait,
Mais se reconstruire,
Ha oui, pardon, fuire !!!
Quelle vanité...
Les yeux ouvrir,
Peu le font, non ?
Mais dans le fond,
Peu importe de mourrir,
Si c'est avec le sourire,
Non ?
A un de ces jours ... ailleur.
Déçu ?
De m'être porté
Au dessus...
De ma tristesse,
Dont certains n'ont rien à carrer;
Car ils se foutent aux fesses,
La moindre de mes pensées.
Qu'au moins,
Elles leurs apportent la douceur,
Car un jour, témoins,
Ils seront de leur malheur.
Pause, disais je ?
Besoin il se fait,
A ceux qui galègent,
Je dis : parfait.
Mais le temps avance,
Il ne se rattrappe pas,
A force de médisances,
On saute le pas
Fuire la réalité,
Jamais, je ne l'ai fais,
Dire des banalités,
Pour la fuire,
Comme on est, on fait,
Mais se reconstruire,
Ha oui, pardon, fuire !!!
Quelle vanité...
Les yeux ouvrir,
Peu le font, non ?
Mais dans le fond,
Peu importe de mourrir,
Si c'est avec le sourire,
Non ?
A un de ces jours ... ailleur.